Une chambre d’enfant renferme parfois plus qu’un bureau et un lit. On y trouve tous les rêves, les fantasmes, les secrets et les pensées des enfants qui y grandissent. Lucie ne nous laisse pas seulement entrer dans sa chambre, mais aussi dans sa tête. Un véritable monde de questionnements où l’amour manque. Entrer dans la tête d’une enfant, ce n’est pas anodin. Si elle nous laisse faire, c’est peut-être même qu’elle a besoin de s’y sentir moins seule...

 

Un soulèvement de pensée ! Voilà ce que nous propose la pièce à travers ces jeunes personnages. Ce passage où le monde de l’enfance et celui de l’adulte se rencontrent et se mêlent de manière surprenante, ces questionnements sur le monde, dans des élans de tristesse, de colère, de rire !

 

Distribution 

Texte : Diastème

Mise en scène : Mélanie Beder

Avec : Mélanie Dufrier et Quentin Lecarduner Chorégraphe : Mélanie Dufrier

Composition : Clément Julia

Création lumière : Alvaro Ruault Maquillage : Claire Leblanc

© Lucas MC

 

 

« Un jour viendra où l’on croira que le monde est mort. Alors le Théâtre réinventera l’humanité. » Anne Delbée

 

 

 

 

compagnieb612.com

William Mesguich nous fait revivre sur scène l’expérience exceptionnelle de l’écrivain- aventurier Sylvain Tesson. Parti loin de la cité et de la foule, il fait le choix de s’isoler au milieu des forêts de Sibérie, là où ses seules occupations sont de pêcher pour se nourrir, de couper du bois pour se chauffer. Il réapprend le bonheur de la lecture et de la réflexion solitaires. Avec poésie et humour parfois, il nous entraîne dans sa cabane : « Et si la liberté consistait à posséder le temps ? Et si la richesse revenait à disposer de solitude, d’espace et de silence, toutes choses dont manqueront les générations futures ? »

 

Distribution

D’après : Sylvain Tesson

Mise en scène : William Mesguich

Avec : William Mesguich

Collaboration artistique : Estelle Andrea Adaptation : Charlotte Escamez

Création sonore : Maxime Richelme

Lumières : Richard Arselin 

Scénographie : Gre­goire Lemoine

Production : Canal 33 Pierre Bonnier, Théâtre de l’Etreinte, Scene & Cies, Théâtre de la Huchette, Théâtre de Poche Montparnasse 

© C. Depagne

 

Presse : 

« On se laisse prendre comme dans un songe à la voix, superbe, du comédien-conteur qui nous fait partager si simplement, si concrètement son expédition » Télérama

« Seul en scène, William Mesguich, magistral, est habité d’émotion, enivré par la force des mots, à fleur de peau et de sensations. Dans sa voix on sent le froid et la vérité, dans ses yeux fiévreux on voit la splendeur de ces lointaines étendues blanches, dans ses tremblements transpire la curiosité de la découverte, dans ses gestes s’exprime l’effervescence de ce qui est réellement important » Reg’Arts

« C’est un homme meilleur qui reviendra parmi nous, se disent les spectateurs tenus en haleine par une formidable interprétation qui opère la métamorphose du texte en spectacle vivant » Le Figaro

« William Mesguich se fait le conteur acteur de cette épopée, nous en faisant ressentir chaque émotion, chaque expérience, chaque danger et victoire /.../ Superbe et nécessaire » Artistic Rezo

happeningcreation.com

 

« Chaque jour je me disais : je dois garder l'Amour dans mon cœur aujourd’hui, sinon comment survivrais-je toute la journée ? » Cette phrase résume tout « De Profundis », longue lettre écrite par Wilde à son jeune amant, Lord Douglas. Le père de celui-ci a fait condamner l'artiste à deux ans de prison pour homosexualité, et depuis sa prison de Reading, Wilde produit une pure pépite.

 

Ce texte est tout à la fois constat terriblement lucide adressé à son amant, analyse acérée de la morale victorienne et affirmation de ses choix de vie sans concession. Mais avant tout, par son émotion, ses regrets et la beauté de sa langue, « De Profundis » est un chef-d’oeuvre de la littérature universelle.

 

La mise en scène du spectacle et le jeu tout en retenue de Josselin Girard se veulent tout simplement au service de ce joyau.

 

Distribution :

De Oscar Wilde 

Adaptation et mise en scène : Bruno Dairou

Avec : Josselin Girard

Création lumière : Arnaud Barré

Traduction originale : Henri-D. Davray

© P. Hanula

 

 Presse : 

« Une bouleversante confession » Le Monde

« De Profundis est un miracle de mise en scène et d’interprétation » La Provence

« Un des plus beaux livres qui soient nés de la souffrance d'un homme » Albert Camus

« Une des plus belles écritures du XIXe siècle à découvrir. Disparaître un peu en compagnie d’un grand génie est un luxe que l’on devrait toujours pouvoir s’offrir.» Les Trois Coups

 

 

perspectives-theatre.eu

 

 NOUVELLE CRÉATION 2023 D’ANDRÉ NEYTON

 

Toulon. 1793.  An II de la République.

Un face à face entre deux hommes pourtant tous deux républicains : Barras, député conventionnel varois, jacobin, fidèle de Robespierre et son prisonnier girondin, “suspect d’hostilité à la République“.

Un abîme semble séparer les deux hommes , entre centralisme jacobin et révolte du midi, sur fond de trahison de Toulon qui vendit la ville aux Anglais venus sauver la monarchie.

Une lutte sans merci entre deux visions de la société sur laquelle plane la perspective de la guillotine au bout d’un interminable voyage en charrette jusqu’à la capitale.

La pièce est inspirée du livre de François Trucy, "Pièges", consacré à l’extraordinaire aventure de l’un de ses ancêtres.

 

Distribution

Texte et Mise en scène : André Neyton

Avec : Xavier-Adrien Laurent et Jacques Maury

Création lumière : Michel Neyton

Costumes : Isabelle Denis

Musiques : Miqueu Montanaro

Piano : Maya Tris Krakatau

Montage vidéo : Hélène Bez

 

 themed.fr

 

LE COUROU DE BERRA INVITE THOMAS BRAMERIE ET ANDRÉ CECCARELLI

 

Depuis plusieurs années le Corou de Berra travaille tantôt avec le batteur de jazz niçois renommé André Ceccarelli tantôt avec le contrebassiste de jazz réputé Thomas Bramerie, sur divers projets musicaux qui jalonnent la carrière du Corou de Berra depuis 35 ans. Ses ouvertures musicales tous azimuts ont créé le fameux « Corou de Berra touch».

 

Aujourd’hui, Le Corou de Berra désire aller plus loin : associer la musique jazz et le chant polyphonique, en réunissant ces 3 entités musicales et proposer une relecture du répertoire du Corou de Berra, qui est en grande partie issu de la région niçoise. Entre tradition pure et création, ces mélodies régionales, millénaires ou récentes, seront confrontées à une des sections rythmiques les plus performantes du jazz contemporain.

 

 

Distribution

Avec : Michel Bianco, Gwenn Masseglia, Francoise Marchetti, Luca Pellegrino

Invités : Thomas Bramerie, André Ceccarelli

 

 

 

couroudeberra.com

Depuis son enfance en Tunisie, dans une famille juive modeste, celle qui devint l’avocate la plus célèbre de France et qui est également la dernière grande héroïne féministe, aura vécu une vie de pionnière, insoumise et passionnée. Gisèle Halimi, c’est soixante-dix ans de combat, de passion et d’engagement au service de la justice et de la cause des femmes.

 

« Regardez-vous, messieurs, regardez-nous ! Quatre femmes comparaissent devant quatre hommes et pour parler de quoi ? De leur utérus, de leur ventre, de leurs grossesses et d’avortements. Est-ce que vous accepteriez, vous, messieurs, de comparaître devant un tribunal de femmes parce que vous auriez disposé de votre corps ? »

 

Gisèle Halimi a répondu aux questions de Annick Cojean du Monde. Un dernier coup de gueule en forme de passage aux jeunes générations.

« Parce que l’égalité entre hommes et femmes est loin d’être acquise et parce que naître femme, dans la plupart des pays du monde, reste une malédiction ».

 

Distribution 

De : Gisèle Halimi & Annick Cojean 

Adaptation, mise en scène, scénographie : Jean Chollet

Avec : Sylvie Boivin

Technique : Dorian Wolfcarius

Costumes : Marianne Braconnier

Décor sonore : David Klaus

 

Presse 

« Un texte tonique et « jouissif » servi par une excellente comédienne » A. Bengio, LICRA

 

 

Fabrice et Jean-Michel Andreani, entourés de musiciens de renom, chantent une Corse contemporaine, profondément ancrée dans ses racines, mais toujours soucieux de garder un regard tourné vers l’avenir. Entre musique traditionnelle et rythmes actuels, I Messageri flirtent avec la world pour une musique sans frontière, où la Corse lie les hommes. Au fil des chants, les voix et les mélodies se tressent, s’envolent, touchent la nef d’une église aux couleurs d’encens, le plafond illuminé d’un théâtre, le ciel étoilé d’une place de village, et reviennent comme un refrain, déjà adopté pour accompagner le long des jours. 

 

Le groupe fondé par les frères Andreani en 1996 est aujourd'hui incontournable dans le paysage musical Corse. Forts de leurs cinq albums et leurs nombreux concerts donnés aux quatre coins de l’Europe, I Messageri n'ont cessé de porter leurs chants aux textes forts, et ce devant un public de plus en plus nombreux au fil des années. I Messageri continuent ainsi leur chemin, guidés par une volonté inébranlable de créativité, au service d’une musique en mouvement permanent.

 

 

Distribution : 

Fabrice Andreani : Guitare, cetera, chant

Jean Michel Andreani : Chant

Jean Paul Colombani : Guitare, chant

Mambrini Ghjaseppu : Guitare, mandoline, chant

Michel Tomei : Guitare, flûte, clavier, chant

 

 

 

 

imessageri.co

 

 

 

Bien que prenant place dans les années 50, les thèmes résonnent comme un reflet de la société actuelle : racisme, détresse sociale, rivalité, jalousie ... Les rythmes emportent, les jupes volent, les amants se retrouvent en cachette et le spectateur virevolte dans cette histoire intemporelle. Deux familles, égales en noblesse, dans la belle New York, d'anciennes rancunes et des rixes nouvelles. Deux groupes de jeunes s'affrontent pour la propriété d'un terrain de basket. Portoricains et New-yorkais «pure souche» jouent leur honneur. On ne peut ignorer dans cette histoire, devenue un classique, le parallèle avec celle de Roméo et Juliette.

 

 

Grâce à un vrai mélange de disciplines, jazz contemporain, classique et néo classique, le public passe par toute une palette d'émotions : de la joie au désespoir, de la haine à l'amour. C'est dans ce tableau que Maria et Tony vont se voir, se rencontrer, et s'aimer. Mais l'amour peut-il l’emporter sur la rivalité, et plus encore, sur la peur de l'autre, de celui qui ne nous ressemble pas .... ou nous ressemble trop ?

 

 

 

Distribution : 

Chorégraphie originale : Mélanie Dufrier

© Degas

 

 

 

 

ballet-studio-marius.com/la-compagnie-petipa/

 

 

 

Le 5 janvier 1895, Émile Zola dîne, comme à l’accoutumée, chez son ami Alphonse Daudet. Le fils de ce dernier, Léon Daudet, pamphlétaire et journaliste nationaliste, rentre de l’École Militaire où il vient d’assister à la dégradation du capitaine Dreyfus, événement qu’il couvre pour le journal Le Figaro. Son article du lendemain est prêt. Il en donne un résumé injurieux, en des termes ignominieux. Zola s’indigne et proteste contre la violence des propos : il ne peut tolérer qu’en France on puisse accuser un homme sans autre forme de procès que celui de sa religion. 

 

Une altercation dont Émile Zola ressort transfiguré. Il décide de se lancer dans ce qui devient déjà « l’Affaire » : celle d’une idéologie toujours cruellement d’actualité et qu’il a eu, souvent seul, le courage de combattre. Zola l’infréquentable met en scène la confrontation véridique et peu connue entre le romancier et Léon Daudet, polémiste antisémite. 

 

Ce soir-là, tout a commencé …

 

Distribution : 

De Didier Caron  

Texte et mise en scène : Didier Caron Assistante : Maud Mazur

Avec : Pierre Azema et Bruno Paviot

Création lumière : Denis Schlepp

Costumes: Mélisande de Serres

Scénographie : Capucine Grou-Radenez

© P. Hanula

 

 

idprod.net

Spectacle éligible aux Molières !

 

Le parcours d'un homme passant des jeunesses hitlériennes au mouvement résistant "La Rose Blanche", de la fascination à la révolte.

 

Inspiré d'une histoire vraie, «Jamais plus » est un appel à la réflexion sur le droit à l’innocence, le patriotisme, et l’endoctrinement. Alors que le nazisme est en marche dans l’Allemagne d’avant-guerre, Franz Weissenrabe, un garçon ordinaire, est irrésistiblement séduit par les jeunesses hitlériennes. Il devient ainsi peu à peu le jouet du fascisme, un bon petit soldat, prêt à tout, même à dénoncer son père lorsque celui-ci veut aider des juifs à quitter le pays. Face à la violence de l’arrestation de la famille juive et de son père, Franz va rompre avec tout ce qu’il aimait et rejoindre Hans et Sophie Scholl au sein du mouvement résistant « La Rose Blanche ».

 

Distribution : 

Texte et mise en scène : Geoffrey Lopez

Avec : Antoine Fichaux

Création Lumière : Filipe Gomes Almeida

Costumes : Patricia de Fenoyl

Musiques : Brice Vincent

© L. Paget

 

 

Presse : 

« Le texte magnifique donne au personnage l'étoffe des héros tragiques de Racine » FR3

«  La construction de la pièce ouvre des portes sur l’imaginaire de chacun, propose une incitation à la réflexion » L’Humanité

« Une pièce plus qu’essentielle » Publik’Art

« Le jeune et très talentueux Geoffrey Lopez met en scène le sobre et magistral comédien Antoine Fichaux » BFM Paris

 

 

 

clairemervielproduction.com