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La Programmation

Septembre - Décembre 2025

DÉCOUVRIR

LES SPECTACLES

19 Sept

VENDREDI

20H45

LES EMBARQUÉ(E)S (HORS LES MURS)

Cie C'est la Goutte d'eau

30 Sept

MARDI

20H45

ANTIGONE

Cie Le vélo volé

10 Oct

VENDREDI

20H45

MA GRAND-MÈRE DISAIT

Cie Gingko Bioloba

17 Oct

VENDREDI

20H45

MYSTÈRE BACH

Cie Le buit de hommes

24 Oct

VENDREDI

20H45

STÉPHANE BELMONDO

En solo

7 Nov

VENDREDI

20H45

MADAME BOVARY, EN PLUS DRÔLE ET MOINS LONG

Cie Le monde au balcon

13 Nov

JEUDI

20H45

MADAME SHAKESPEARE

Cie du coup monté

28 Nov

VENDREDI

20H45

MADELEINE BÉJART, UNE FEMME LIBRE

Cie Les larrons

5 Déc

VENDREDI

20H45

SOLAR

Cie Utopik théâtre

6 Déc

SAMEDI

16H

ANDRÉ NEYTON, L'HOMME DE THÉÂTRE

Cie CDO

12 Déc

VENDREDI

20H45

GAUGUIN VAN GOGH

Cie Hé Psst

19 Déc

VENDREDI

20H45

CASSE-NOISETTE

Cie Petipa

31 Déc

MERCREDI

21H

LE PREMIER HOMME

Cie Fracasse

« Un voilier-théâtre qui a déjà parcouru plusieurs ports d’Europe »

Dans le cadre de sa programmation, le Théâtre de la Méditerranée organise un événement Hors les murs de l’Espace Comedia en proposant une forme de spectacle contemporaine et innovante à bord de l’Hétérotope, un voilier-théâtre qui a déjà parcouru plusieurs ports d’Europe.

Cette pièce embarquée est née de deux années de rencontres avec les populations des zones portuaires abordées par l’Hétérotope. Elle met à l’honneur les grandes navigatrices, des premières circumnavigatrices aux pionnières de la croisière de plaisance, en passant par les femmes pirates ou les capitaines-courage qui commandent les bateaux de sauvetages. Elles voguent de port en port, pour inviter à respirer l’air du large, celui qui nous gonfle d’envies, celui qui ramène sur les rivages nos rêves froissés de l’enfance. Dans leurs cales, il y a le sel de la vie, le vent de l’envie, le fil de l’eau. Il y a des amarres à déferler, retendre, larguer pour hisser les voiles de la liberté et faire reculer l’horizon. Dans l’intervalle suspendu d’une escale, elles chantent les navigatrices qui ont trouvé l’audace de tutoyer l’horizon. Leurs escales sont des appels au voyage, à la rencontre, à l’autre, à l’inconnu, à l’étranger, tous ceux qui peuplent leur littoralité.

Distribution :
Texte : Mandine Guillaume
Mise en scène : Emilien Urbach
Création musicale : Clément Althaus
Avec : Emilie Jobin, Caroline Fay, Mandine Guilaume et Jérome Kocaoglu

Infos pratiques :
Lieu : Port de Toulon
Déroulé du spectacle : le spectacle a lieu sur le voilier-théâtre, le public est disposé à quai, places assises (attention places très limitées, réservation obligatoire)
Tarifs : Adultes 22€, Enfants (<12 ans) 15€

Presse :
« Cette aventure, symbole d’art et de transmission, est avant tout une expérience humaine. Un moment mêlant histoire, théâtre, musique et message de liberté. /…/ Pour illustrer l’inconditionnelle liberté, existe-t-il meilleur paysage qu’un bateau avec, en guise de toile, un port, laissant entrevoir une multitude de navires aux allures singulières, appelant au rêve et à l’imaginaire ? » Nice-Matin

« Une Antigone aussi vibrante que la guitare électrique qui l’accompagne »

Dans cette version moderne et pourtant très fidèle au mythe, la complexité de la tragédie antique de Sophocle disparaît dès les premiers instants. Thèbes. Double fratricide. Pour Créon, l’un mérite les honneurs, l’autre la poussière. Pour Antigone : une sépulture chacun. En bravant l’interdit et en revendiquant la justice, Antigone met sa vie en jeu. Elle est condamnée à être emmurée vivante.

Le Chœur invite à réfléchir sur l’âme humaine, sur ses certitudes et ses contradictions. La guitare en live, parfaitement intégrée, souligne l’étrangeté et les émotions de cette œuvre. Sa violence, ses cris, ses larmes, ses colères, ses désespoirs.

Qui l’emportera ? La loi des hommes ou la loi des dieux ?

Distribution :
Mis en scène par François Ha Van
Avec : Romain Arnaud-Kneisky, Yann Guchereau, Hoël Le Corre, Achille Sauloup et Morgane Touzalin-Macabiau ou Emma Bousquet
Création musicale et guitare live : Pierre Bienaimé ou Pablo Lecoq
Scénographie : Elie Barthès
Costumes : Emilie Hantz


Presse :
«  Quand tombe le rideau, on est sonnés par la puissance et par la beauté. Parce qu'ils ont réussi la prouesse de nous emmener avec eux mordre la terre de Thèbes.» La Provence
« Antigone comme vous ne l’avez jamais vue ! Quelle modernité ! Quelle puissance ! »
L’info tout court
« Une atmosphère à la fois sombre, mystique et formidablement contemporaine. On ressort de cette Antigone tout ébahi, admiratif et conquis. »
La Dépêche

« Un mot de passe entre ceux qui sont morts et ceux qui vont naître »

« Ma Grand-mère disait » est un récit puissant de liberté, de combat et de résistance, celui d’une famille républicaine espagnole réfugiée en France à la fin des années 1950. Eva Castro tisse ici un lien entre son enfance, notre présent et les récits puissants du poète Serge Pey, dans une langue qui nous étonne et qui nous réveille.

Ce spectacle insolite, poétique et drôle, parle de femmes et d’hommes qui ont œuvré et œuvrent encore à ouvrir des portes pour vivre avec l’Autre dans un monde plus juste. Ces femmes et ces hommes qui ont combattu la dictature et la barbarie nous transmettent leurs expériences, leurs actes, leurs vécus comme des outils de résistance dans un monde où l'équilibre des plateaux est un combat incessant et jamais définitif.

Avec l'espérance comme fil rouge, ce spectacle répond à un besoin, à un devoir de transmission, un travail de mémoire pour éviter, comme le disait Serge Pey, que « les fonctionnaires patentés de notre civilisation de l’oubli organisent méthodiquement l’effacement de l’histoire » .

Distribution :
D’après « le trésor de la guerre d’Espagne » de Serge Pey
Adaptation, mise en scène et jeu : Eva Castro
Assistance à la mise en scène : Judith Marvan
Collaboration artistique : Philippe Renault
Bande son : Colin Favre-Bulle


Presse :
« Une force qui vous pénètre et ne vous lâche pas /…/ Quand ces hommes sans scrupule hurlaient «vive la mort» en tendant le bras, Eva Castro danse la vie et la fraternité » L'Humanité
« Maîtrise totale de l'interprétation ainsi que de la forme »
Télérama
« Un moment rare. La performance d’Eva Castro est époustouflante »
Les chroniques d'Alceste

Prix et récompenses :
Professeur émérite, membre de l’unité mixte de recherche FRAMESPA-CNRS, Serge Pey est lauréat de multiples prix dont le grand prix national de poésie de la société des gens de lettres et le prix international de poésie contemporaine Robert Ganzo

« Il y a du bonheur dans cette musique »

Le Bruit des Hommes et l’Orchestre de Chambre de Toulon et du Var présentent un récit-récital dédié à Jean-Sébastien Bach et à ce chef-d’œuvre de la musique baroque : les six Suites pour violoncelle seul. Ce spectacle-concert tente de remonter aux sources de ces compositions. Qui était cet homme à la mine sévère ? Quelle fut sa vie ? Comment ces Suites ont-elles pu réapparaître après presque deux siècles d’oubli ? Et pourquoi cette musique, si savante, continue-t-elle de nous bouleverser ?

Ils sont deux en scène, deux passionnés de Bach : l’un joue, l’autre raconte et incarne. La voix du violoncelle et celle du récit se répondent et s’éclairent en un jeu de miroirs pour faire entendre et ressentir pleinement la musique de Bach.

Musique baroque, art du contrepoint, Bach c’est la rencontre entre harmonie et mélodie. Il y a du bonheur dans cette musique. Il y a du bonheur à la jouer. Il y a du bonheur à l’écouter.

Distribution :
Avec : Yves Borrini (Jeu et livret), Manuel Cartigny (violoncelle)
Regard extérieur : Maryse Courbet

En partenariat avec l’Orchestre de Chambre de Toulon et du Var

A savoir :
Manuel Cartigny est Lauréat du Conservatoire de Versailles en violoncelle et musique de chambre. Il intègre à 23 ans l’Orchestre de l’Opéra de Toulon, dont il devient violoncelle solo en 2000.

« Celui que la musique a choisi »

Alors à peine âgé de 20 ans, Stéphane Belmondo est remarqué par Chet Baker lui-même qui l’invitera à se joindre à lui le lendemain pour son concert et le présentera alors à son public comme le trompettiste le plus prometteur de sa génération en Europe. Depuis, il jouera sur toutes les plus grandes scènes internationales et auprès des plus grands noms du Jazz comme Dee Dee Bridgewater, avec qui il fera le tour du monde pendant près de 3 ans, parcourra tous les endroits mythiques comme le Carnegie Hall, Vangard ou le Blue Note et participera aux plus grands festivals comme le Montréal jazz festival. Il a joué et enregistré avec les plus grands noms comme Michel Legrand, Alain Bashung, Milton Nascimento, ou Yousef Lateef, et a reçu les plus grands prix du Jazz, le prix Django Reinhardt en 1994, le prix de l’académie Charles Cros, et pas moins de 7 Victoires de la Musique entre 2004 et 2020.

Et pourtant, c’est à l’Espace Comédia, ce théâtre si cher à son coeur, que l’enfant du pays a décidé d’offrir cette Première mondiale. Après avoir joué dans tous types de formations existantes, du duo au big band, il se produit aujourd’hui pour la première fois en solo, accompagné de sa trompette, son bugle et ses coquillages. Une forme rare et originale pour un trompettiste. Un moment d’exception suspendu ...

Distribution :
Trompette, bugle, coquillage : Stéphane Belmondo

Presse :
« De son Var natal aux scènes parisiennes et new-yorkaises, Stéphane Belmondo a développé une expression singulière mettant à l’honneur ses aïeux familiaux et musicaux. Que ce soit à la trompette ou au bugle, celui que la musique a choisi conserve son intuition et son lyrisme tout au long de sa carrière. » Philharmonie de Paris

Infos pratiques :
Tarif unique : 20€

« Nous sommes des générations de lycéens forçats qui se farcissent
Madame Bovary sous la contrainte »

Il y en aura pour tout le monde.
Pour toi ! Le jeune qui doit lire Madame Bovary et qui a la flemme d’acheter le livre.
Pour toi ! Celui qui a un doute : « L’auteur c’est Balzac ou Maupassant ? »
Pour toi ! Celui qui a souffert à sa lecture.
Pour toi ! La mère du jeune qui s’arrache les cheveux à essayer de le convaincre alors que toi-même tu ne sais plus si tu l’as lu.
Pour toi ! Qui n’a pas lu Madame Bovary mais qui rêve de briller en société.
Pour toi ! L’amoureux de Flaubert qui tolère qu’on parle de lui avec humour.

Oeuvre majeure, Madame Bovary est un roman de Gustave Flaubert paru en 1857. Suite à un procès pour outrage à la morale publique et religieuse et aux bonnes moeurs, la première édition est un succès immense. Plus de 150 ans plus tard, « Madame Bovary» est toujours présent dans les programmes de français au Lycée. Trop tôt pour lire cette oeuvre ? Peut-être. Il est temps de la rendre accessible.

A travers cette oeuvre intemporelle, l’ennui interminable d’Emma résonne.
Alors aujourd’hui, nous vous racontons « Madame Bovary » en plus drôle et moins long.

Distribution :
D’après Gustave Flaubert
Texte : Camille Broquet et Marion Pouvreau
Mise en scène : Edward Decesari

Avec : Camille Broquet et Sarah Boulnois

Presse :
« Flaubert doit se tordre de rire là où il est » La Théâtrothèque
« Ce spectacle prouve qu’il est possible de rendre hommage aux grands classiques tout en les dépoussiérant avec humour et intelligence »
Just Focus
« Comble du chic ? On aurait même envie de relire cette fameuse œuvre de Flaubert » Et si on allait au théâtre ce soir
« Une énergie débordante, une intelligence de jeu, une vision moderne, une Inventivité fantastique »
Les chroniques d'Alceste

« Derrière chaque grand homme se cache une femme »

1585. William arrive à Londres, dans la petite chambre d’une auberge miteuse. A peine arrivé, il écrit. Non pas une des pièces qui feront de lui l’un des plus grands auteurs de théâtre, mais une lettre, destinée à sa femme, Anne Hathaway, pour la supplier de l’autoriser à revenir dans leur maison de Stratford où elle est restée. Il ne croit plus à leur projet de faire de lui un auteur qui traversera les âges et surtout, il ne supporte pas de vivre loin d’elle. C’est le début d’une longue relation épistolaire passionnée. Depuis Stratford, Anne endosse tous les rôles, tour à tour femme, mère, inspiratrice, muse, bourreau, elle utilise tous les stratagèmes pour faire de son Will un écrivain qui marquera l’histoire. A travers cette histoire d’amour passionnelle et dévorante, c’est la naissance de la figure que l’on connaît aujourd’hui sous le seul nom de William Shakespeare, mais qui serait l’association de deux êtres de génie.

Vérité ou fiction ? Cette idée que Shakespeare ait eu un ou plusieurs doubles est une théorie existante, mais que ce double soit une femme, sa femme, est une révélation inédite. Gabriel-Marie Legouvé disait : « Derrière chaque grand homme se cache une femme. ». Et si l’on regardait un peu les femmes de l’ombre ? Qu’aurait donc été William Shakespeare sans Anne Hathaway ?

Distribution :
Texte : Anca Visdei
Mise en scène : Julie Crégut et Benjamin Dussud
Avec : Teddy Bogaert et Caroline Cristofoli
Lumières : Maxime Denis

© JL Fernandez

Presse :
« Dans l’ombre du grand William se cacherait Madame Shakespeare, véritable muse inspiratrice et tyran sans qui l’oeuvre n’eût été... C’ est leur correspondance /…/ qu’Anca Visdei imagine pour nous /…/ Désacralisant l’artiste, elle nous invite à découvrir les enjeux et les mécanismes de la création. La réussite est totale. » Dans le Mille, librairie Millepages
« Une pièce drôle, touchante sur le pouvoir des muses et sur l’art du poète»
L’Oeil d’Olivier

« Sans Madeleine, nous n’aurions pas eu Molière »

Sans Madeleine Béjart, Jean-Baptiste Poquelin ne serait jamais devenu Molière. Elle a été sa muse, sa complice, à une époque où les femmes n’avaient le droit qu’à l’ombre. C’est Madeleine Béjart qui a initié Molière au théâtre. C’est elle qui l’a formé en tant qu’acteur et l’a initié à l’écriture théâtrale. Madeleine Béjart et Molière forment un couple extraordinaire dans l’histoire du théâtre français. Durant trente année de leur vie, ils ont inventé une nouvelle forme théâtrale : la comédie de mœurs, une aventure extraordinaire qui a mené à la création de la Comédie Française. Considérée comme la plus grande tragédienne de son temps, Madeleine Béjart bouscule toutes les conventions. Elle ne se marie pas, et ne dépend d’aucun homme pour exister.

Isabelle Andréani est une des descendantes de Madeleine Béjart. Elle possède le charisme, la force, l’inventivité, la drôlerie de Madeleine. Avec sa magnifique puissance d’incarnation, elle n‘interprète pas Madeleine Béjart, elle est Madeleine Béjart. Un hommage à la langue française et au théâtre. Que le rideau se lève sur Madeleine !

Distribution :
De Pierre Olivier Scotto
Mise en scène : Xavier Lemaire
Avec : Isabelle Andréani
Décor : Caroline Mexme
Costume : Christine Villers
Lumière : Didier Brun
Régie : Franck Willig

Presse :
« Une interprétation lumineuse /…/ la présence est majeure, le texte la sert avec virtuosité, imprégné d'une forte teneur dramatique /…/ et d'une incroyable vivacité. La prestation d'Isabelle Andréani éblouit » France Info
« Isabelle Andréani est fabuleuse dans ce rôle. C’est comme si Madeleine réincarnée sortant de l’ombre du souverain Molière, accédait enfin à la
reconnaissance. Qu’on se le dise sans Madeleine, nous n’aurions pas eu Molière...  »
Théâtre au vent

Prix et récompenses
Les spectacles de Xavier Lemaire (dont « Qui es-tu Fritz Haber ? » et « Un cœur simple » précédemment programmés) ont reçu le Molière du meilleur spectacle Théâtre Public 2015, et 3 nominations aux Molières.

« Une quête sans mot, un amour sans limites, un hommage émouvant »

Dans les rues d’un village portuaire, les talons claquent comme autant de gifles à la vie. Parmi les femmes qui revêtent le costume clinquant de la nuit, Solar la putain rayonne sous le clair de lune. Sous les plaisirs coupables cachés derrière les réverbères a fleuri en effet la vie. Et Solar berce l’enfant de la honte sous les étoiles, en attendant celui qui saura un jour lui redonner foi en ses rêves, en l’humanité. Solar pactise avec la vie pour rendre celle de la Mort impossible, dans un grand éclat de rire et de poésie.

La pièce virevolte, tourbillonne et épingle les émotions sous le ciel des jours qui passent. Elle emporte le public par la puissance du masque, technique de théâtre ancienne dans laquelle le corps entier de l'acteur révèle sa puissance. Car dans ce véritable tourbillon émotionnel, aucune parole n’est prononcée. Pourtant, tout est clair.
Et si en sortant l’on vous demande, vous jurerez qu’ils ont parlé tout du long.

Distribution :
Texte : Florine Némitz, Fabrice Bessire, Mattéo Fantoni, Stefan Lochau
Avec : Fabrice Bessire, Matteo Fantoni, Anaïs Lhérieau
Mise en scène : Stefan Lochau
Assistante mise en scène : Fiona Vuilleumier
Masques : Florine Némitz & Fabrice Bessire
Scénographie : Jean-Marie Liengme, Valère Girardin
Costumes : Janique Nardin
Régie son et lumière : Lucas Magnat

Presse :
« Pour ceux qui découvrent ces masques, vous serez fascinés par l’humanité qu’il s’en dégage » Théatreactu
« Solar alterne rire et émotion brillamment /…/ un moment de pur bonheur à l’énergie débordante, une sorte de fable loufoque, un peu nostalgique à la Jacques Tati. »
Fou d’art
« Le langage parlé par Utopik Family est universel, c’est celui des émotions. »
A bride abattue
«  Cela donne quelque chose d’exceptionnel. On a vraiment l’impression de regarder un dessin animé mais en 3D /…/ Ce que l’on retiendra surtout, c’est la poésie qui se dégage de ce monde. »
L’oeil d’Olivier

« La Provence perd une conscience et Toulon un peu de son âme »


Il y a ce que l'on connait, et ce que l'on connait moins, voire pas du tout. Ce moment riche de formes diverses (lectures, projections, présentations), sera l'occasion de revenir en partie sur l'oeuvre d'André Neyton, mais surtout, de mettre en lumière ce que l'on connait moins de son travail. Seront dévoilés ici ses écrits inachevés, ses derniers projets en cours de réalisation ...

Comédien, metteur en scène, auteur, André Neyton crée le premier festival de théâtre du Var, mais aussi une des toutes premières compagnies de théâtre professionnelles du Var, le Centre Dramatique Occitan, qui participera très tôt aux Journées du Théâtre des Nations organisées par Jean-Louis Barrault ainsi qu’au Festival Mondial du Théâtre de Nancy dirigé par Jack Lang. Nommé avec l'aval du Ministre de la Culture à la direction du Théâtre de la Méditerranée qu’il crée en 1984, il portera le projet d’un Centre des Cultures Régionales de l’Espace Méditerranéen.

Pendant près de 60 ans, fou de théâtre et de langue occitane, il ne cessera jamais de créer. Des spectacles d’abord, avec près de 35 mises en scènes qui ont tourné en France et à l’étranger, dont une quinzaine en tant qu’auteur, ainsi que des sons et lumières et des randonnées-théâtre qui ont marqué les mémoires. Mais il créera aussi des Théâtres. Quatre au total. Du premier local rue St Cyprien, en passant par le Théâtre de la Porte d’Italie, puis une structure originale sous forme d'un Théâtre Régional Mobile, avant de transformer un cinéma en fin de vie en Théâtre, l’Espace Comedia, qu’il développera et protègera jusqu’au bout. Lauréat du grand prix littéraire de Provence en 2018, ses réalisations ont toujours été porteuses d’une préoccupation d’éducation citoyenne. Toujours avec cette force de persuasion, cette volonté de défendre les théâtres, les cultures, les langues, les libertés …

On l’a traité de fou, d’utopiste.
Heureusement, il l’a été. Obstinément.
Nous rendons hommage aujourd’hui à l’Homme de Théâtre.


Distribution :
Avec : Sophie Neyton
Travail d’archives et vidéo : Michel Neyton

Presse :
« Avec sa disparition, la Provence perd une conscience et Toulon un peu de son âme » Toulon en Commun

Infos pratiques :
Tarif unique : 15€

« La coloc la plus dingue de l'Histoire de l'art »

Le défi était grand. Restituer avec la plus grande vérité historique neuf semaines de relation toxique, ayant accouché du drame ultra-célèbre : l'oreille coupée de Van Gogh. Mais comment en est-il arrivé à ce niveau de désespoir, à ce geste insensé ?

Quelques semaines plus tôt, Gauguin rejoint Van Gogh dans sa maison d'Arles. Ce dernier y vit depuis quelques mois avec une certaine sérénité, la joie dans le pinceau. L'idée ? Fonder là, en Provence, une maison d'artistes. La pièce retrace ces neuf semaines incandescentes. En condensé, bien sûr, mais dans un vrai souci de fidélité aux nombreux éléments connus. C'est l'histoire d'une cohabitation entre deux génies qui ne s'est pas très bien terminée. La coloc la plus dingue de l'Histoire de l'art.

Distribution :
Texte : Cliff Paillé & David Haziot
Mise en scène : Noémie Alzieu & Cliff Paillé
Avec : Alexandre Cattez & William Mesguich
Création lumières et son : Yannick Prévost


Presse :
«  Un tête-à-tête magistral /…/ Les comédiens sont phénoménaux » La théâtrothèque
« Un texte au cordeau, deux comédiens émouvants et rares, le pigment de ce Gauguin-Van Gogh imprime notre rétine pour longtemps »
Bulles de culture
« Le talent est au rendez-vous, Alexandre Cattez et William Mesguich sont plus vrais que nature /…/ excellentissimes, intenses, impressionnants de justesse et de jeu. Ils accomplissent de la haute voltige théâtrale »
RegArts
« William Mesguich, Van Gogh, et Alexandre, Cattez, Gauguin, sont éblouissants d’engagement et de sincérité dans cette pièce /… / une formidable intensité » Coup de cœur Off 2025 Artistik Rezo
« Pour sa fidélité historique, pour sa force a restituer ce qui se joue dans les âmes de deux artistes légendaires, la pièce est un immense bonheur ».
L’autre scène
« Une partition parfaite /…/ pour deux virtuoses de la scène » T
atouvu.com

A savoir :
Après Chaplin 1939, Un soir chez Renoir, Tant qu’il y aura des coquelicots, Camus-Sartre miroirs d’enfance, Cliff Paillé revient avec sa dernière création

« Un conte dansé, à la fois tendre, mystérieux et spectaculaire »

Créé à Saint-Pétersbourg en 1892, Casse-Noisette est l’un des ballets les plus joués au monde, joyau féerique du répertoire classique. La musique envoûtante de Tchaïkovski, riche en motifs oniriques et rythmes dansants, s’allie à une scénographie pleine de magie et de rêve. Le livret s’inspire librement du conte « Casse-Noisette et le Roi des souris » d’E.T.A. Hoffmann, revisité par Alexandre Dumas père. Il raconte l’histoire de Clara, jeune fille transportée une nuit de Noël dans un univers merveilleux où son casse-noisette, transformé en prince, l’entraîne dans un voyage fantastique. Combat contre des armées de souris, forêt enneigée, danses du monde : chaque tableau célèbre la puissance de l’imaginaire, dans un monde où l’enfance et les rêves triomphent.

Ce conte dansé, à la fois tendre, mystérieux et spectaculaire, reste aujourd’hui une ode à la féérie et à la musique vivante.

Distribution :
D’après Hoffmann
Chorégraphie : Eric Dufrier
Direction artistique : Marie-Claude Rous
Musique : Piotr Ilitch Tchaïkovski

A savoir :
Eric Dufrier et Marie-Claude Rous ont travaillé pour de nombreux ballets prestigieux comme l’Opéra Royal de Wallonie, le Ballet Royal de Wallonie, le Ballet Royal des Flandres, le Ballet Classique de Paris, le Ballet du Louvre, mais également en tant que solistes principaux de l’Opéra de Toulon. Premiers prix du meilleur couple aux concours internationaux d’Houlgate, finalistes au concours international d’Osaka au Japon et de Paris, ils sont également cofondateurs du concours international de danse classique d’Aix en Provence en 1998. Invités régulièrement à donner stages en Espagne, Italie, Belgique, et en France, ils interviennent régulièrement à l’Académie Internationale de Comédie Musicale (AICOM) à Paris.

« Une comédie humaine, où le rire n’efface jamais la lucidité »

Lui est prof de philo. Maître de la pensée et du verbe, habitué à discourir sur la sagesse et la vanité des choses, content de son quotidien en somme. Elle est cheffe d’entreprise. Elle mène de front une vie de décisions, d’action, et aussi de mère et femme « parfaite » facilitant la vie de tous, sans qu’aucun des membres de la famille n’en ait vraiment conscience. Tout est normal.

Et puis… Elle est nommée ministre. Presque par accident pense-t-on, ou par jeu politique, il faut bien mettre des femmes n’est-ce pas, à l’occasion d’un remaniement qui a conduit le Président en place à puiser dans le vivier de la société civile. L’irruption inopinée de la politique dans leur quotidien va rebattre les cartes de leurs identités masculines, féminines… et politiques ! Il va devenir « Le Premier Homme » comme d’autres « la Première Dame ». Bref, ça va piquer…

Après « Brigade Financière », « Le Projet Poutine » et « Danton Robespierre les racines de la liberté », une comédie réjouissante de Hugues Leforestier sur la place de l’homme dans le couple et sur les coulisses de la politique.

Distribution :
Texte : Hugues Leforestier
Mise en scène : Nathalie Mann et Hugues Leforestier
Collaboration artistique : Jacques Décombe
Avec : Nathalie Mann et Hugues Leforestier
Lumières : Maurice Fouilhé

Presse :
« Nathalie Mann brille dans cette comédie aussi percutante que savoureuse. Un spectacle aussi drôle que pertinent, à ne pas manquer.» Coup de
Coeur France Bleu

« Nathalie Mann est comme à son habitude au sommet de la vague » Reg’Arts
« Une pièce actuelle, nécessaire. Les rires fusent. Du beau théâtre
» Théâtre au vent

Prix et récompenses :
Nathalie Mann a reçu le prix de la révélation féminine aux Molières 2015

Infos pratiques :
Soirée réveillon de la st sylvestre : Tarif unique spectacle + champagne : 45€ (réservation obligatoire)

accéder à la programmation Janvier-Mai 2025

Théâtre de la Méditerranée - Espace Comédia

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